Jean-Jacques Lequeu  

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"Recently the idea has infiltrated academic consciousness that the eighteenth-century crank Lequeu, one of the world's fringiest paper architects, is really Marcel Duchamp inserting himself Trojan-horse-like into the musty tomes of the Bibliotheque Nationale, whiling away countless hours creating a large hollow space in which a few hundred pseudo-eighteenth-century beings can roost." --The Built, the Unbuilt, and the Unbuildable (1993), page 174, Robert Harbison


"Jean-Jacques Lequeu's Nouvelle Methode draws on Caspar Lavater's theory of physiognomy."--Sholem Stein

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Jean-Jacques Lequeu (September 14, 1757 – March 28, 1826) was a French draughtsman and visionary architect, best-known today for his "Le Dieu Priape" and other Figures Lascives.

Contents

Biography

Born in Rouen, he won a scholarship to go to Paris, but following the French revolution his architectural career never took off. Very little is known of his life. Apart from two architectural follies in the neighborhood of his native Rouen his designs were never built. His architectural oeuvre consists of drawings of often inconstructible buildings. The rest of his pictoral work, such as the autoportraits "en travesti", belong to a protosurrealist phantasm. He worked with architect Le Brument.

Work

He spent time preparing the Architecture Civile, a book intended for publication, but which was never published. Most of his drawings can be found at the Bibliothèque nationale de France. Almost all of the drawings in the so-called Figures Lascives collection are sexually explicit. Most of these drawings have been reproduced in Duboy's book Lequeu : An Architectural Enigma but some can also be found in Sade / Surreal.

He worked at the cadastre.

Figures Lascives

Figures Lascives

Figures Lascives (English: lewd figures) is a collection of drawings by Jean-Jacques Lequeu which extend his study of physiognomy to a detailed study of male and female genitalia. The drawings are accompanied by long captions and other marginalia.

All of the drawings in the Figures Lascives collection are sexually explicit and the best-known is "Le Dieu Priape" which shows a rather large male phallus. The drawings have been kept in the Enfer of the French national library, until they were shown at the 2007-8 exposition Eros au secret. Many of them are reproduced in black and white in Lequeu : An Architectural Enigma.

French description

Formation

On ne sait pas grand-chose de sa vie. On sait qu’il est fils de maître menuisier, qu'il a travaillé dans sa ville natale avec l’architecte Le Brument, qu'il fut formé au dessin, art dans lequel il excellait, par Jean-Baptiste Descamps. Il a ensuite reçu deux prix de l’Académie de Rouen en 1776 et 1778, puis une bourse qui lui permet de partir pour Paris. Il se dit « architecte de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen ».

Un disciple de Soufflot

En 1779, il travaille comme dessinateur ou inspecteur au bureau des bâtiments de l’église Sainte-Geneviève, c'est-à-dire pour l’agence de Jacques-Germain Soufflot : par la suite, Lequeu passe au service de François Soufflot le Romain. Pour lui, il exécute la plupart des esquisses du futur hôtel de Montholon (1785) en s'inspirant de Samson-Nicolas Lenoir. Vers cette même époque, il compose une suite de planches intitulée Dessin[s] qui représente[nt] avec des figures, par quelle[s] teintes, et comment on doit laver les plans, élévations et profils des corps opaques, relevant clairement du fantastique, dont un tombeau creusé dans la montagne à même la roche (qui n'est pas sans rappeler certains projets de cénotaphe d’Étienne-Louis Boullée). On connaît deux autres portfolios : Architecture civile et Nouvelle méthode. Il dessine aussi un pavillon chinois pour le secrétaire d’État Henri Bertin pour son domaine situé à Chatou.

Un bureaucrate visionnaire

Employé au bureau du Cadastre en 1793, il sauve de la profanation la sépulture de son maître, Soufflot. C'est sous la Révolution qu'il produit ces étranges portraits, dont le plus connu est celui de la religieuse dévoilant ses seins et légendé ainsi : Template:Citation

En 1802, il travaille au bureau des bâtiments civils du ministère de l’Intérieur tout en continuant à produire pour lui-même quantité de dessins. En juillet 1825, il donne l’ensemble de ses dessins et manuscrits à la Bibliothèque royale : le fonds a hélas été quelque peu recomposé, la logique en a été bousculée par les conservateurs de l'époque.

Lequeu est souvent considéré comme un architecte « révolutionnaire », au même titre que Étienne-Louis Boullée et Claude Nicolas Ledoux. Cette épithète ne vient pas de ce qu’ils ont révolutionné l’architecture ou qu’ils aient été particulièrement engagés à cette période, mais qu’ils sont contemporains de la Révolution française.

Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise dans une concession à perpétuité non localisée..

See also

Selected list of illustrations

Bibliography




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